Pourquoila mer est salĂ©e? Auteur : Robert Giraud. Illustrateur : HĂ©lĂšne MĂŒller. Editeur : PĂšre Castor Flammarion. Ă  partir de 6 ans. Janvier 2001.
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret PokĂ©mon Go Collection ... € Voir le deal LJC MYTHES-CONTES-LEGENDES Contes & LĂ©gendes Contes AuteurMessageFaenorRang Administrateur Nombre de messages 742Age 58Localisation Aix-en-ProvenceEmploi Conteuse-MusicienneDate d'inscription 13/11/2004Sujet Et la Mer devint salĂ©e...Breton Mer 27 Sep - 1147 Les Contes de GĂ©nĂšse sont fort nombreux, surtout chez les amĂ©riendiens!les Contes de "Pourquoi", le sont tout autant, et ce fameux "Pourquoi la Mer est-elle salĂ©e" connait plusieurs versions, dont voici la Bretonne!! ET LA MER DEVINT SALEE ... BretonAs-tu jamais goĂ»tĂ© l'eau de mer ? Pouah, que c'est salĂ© ! Eh pourtant des milliers et des milliers de poissons, de coquillages, de crustacĂ©s et bien d'autre plantes et animaux ne peuvent vivrent que dans la mer, et dans la mer 
 salĂ©e. Mais au fait, sais-tu pourquoi la mer est salĂ©e ? Voici ce que m'a expliquĂ© un vieux pĂȘcheur de Concarneau, et tu sais que les vieux pĂȘcheurs, surtout ceux de Concarneau, ne mentent jamais 
 chaque fois qu'ils disent la vĂ©ritĂ© 
 C'Ă©tait il y a si longtemps que le grand-pĂšre de ton grand-pĂšre n'Ă©tait pas encore nĂ©. Le sable du Cabellou Ă©tait encore rocher et les paysans de Lanriec venaient en charrette aux GlĂ©nan pour y faire la moisson. En ce temps-lĂ , le rivage de la mer se trouvait tout lĂ -bas Ă  la ligne d'horizon et, chose encore plus curieuse, l'eau de la mer
n'Ă©tait pas salĂ©e ! Les pĂȘcheurs en rapportaient carpes et goujons, truites et brochets, mais jamais la moindre sardine, jamais le plus petit merluchon. Le pĂšre PĂ©lage Ă©tait le plus ancien marin de TrĂ©vignon. Il Ă©tait venu au monde il y avait si longtemps qu'il ne savait plus lui-mĂȘme son Ăąge. - Il avait dĂ©jĂ  plus de cents ans quand j'ai fait ma premiĂšre marĂ©e, affirmait le syndic du port, et son bateau est pour le moins aussi vieux que lui. C'est vrai que sa barque n'inspirait guĂšre confiance. Entre les bordĂ©s disjoints, l'eau filtrait insidieusement. PĂ©lage ne semblait pas en faire cas. On le voyait seulement, lorsqu'il jugeait que l'esquif s'enfonçait trop, dĂ©chausser l'un de ses sabots en guise d'Ă©cope et jeter par-dessus bord juste assez d'eau pour ne pas aller par le fond avant d'atteindre le port. Avec son unique casier couvert d'algues vertes, ce n'est pas lui qui risquait de dĂ©vaster les fonds. Il rapportait chaque jour exactement de quoi faire une fricassĂ©e ou une soupe parfumĂ©e. Vivant seul depuis bien longtemps, cela lui suffisait et jamais on ne l'avait entendu se plaindre. Les jeunes le taquinaient parfois - Alors, PĂ©lage, trois anguilles seulement ? Un bon pĂȘcheur comme toi, si tu voulais embarquer avec nous, avec des filets neufs tu ferais fortune ! PĂ©lage se contentait de lever la main en soir-lĂ , il hissait Ă  bord son orin, comme Ă  l'accoutumĂ©e, lorsqu'il vit s'agiter au fond du casier une Ă©trange crĂ©ature ce n'Ă©tait ni un poisson ni un crabe comme il l'espĂ©rait mais une sorte de paquets d'algues d'oĂč Ă©mergeaient de minuscules bras et une tĂȘte Ă©bouriffĂ©e. Jamais, de toute sa vie, il n'avait vu chose pareille. Avec prĂ©caution, il la sortit de sa prison, la dĂ©barrassa des algues qui l'entravaient. Il dĂ©couvrit alors une espĂšce de petit homme, grand comme la main et dont les jambes auraient Ă©tĂ© remplacĂ©es par un queue de poisson d'un vert fluorescent. Le curieux petit ĂȘtre s'agitait entre les doigts du pĂȘcheur. En l'examinant de plus prĂšs, PĂ©lage s'aperçut qu'il remuait les lĂšvres comme s'il parlait mais le claquement de la voie empĂȘchait d'entendre si, rĂ©ellement, des sons sortaient de cette bouche en miniature. Pour en avoir le coeur net, il affala la voile, s'assit sur le banc de nage et approcha de son oreille sa bizarre capture. Ce drĂŽle de petit homme-poisson parlait ! D'une voix Ă  peine audible, certes, mais il parlait - S'il te plaĂźt, PĂ©lage, rejette-moi Ă  la mer. Que pourrais-tu faire de moi ? Je suis le roi des ondins ; mon peuple et moi vivons au fond de la mer et c'est nous qui accrochons les poissons dans les filets des pĂȘcheurs. Je m'apprĂȘtais justement Ă  dĂ©poser une carpe dans ton casier quand tu l'as relevĂ© et je suis restĂ© dans le piĂšge. Si tu me relĂąche, je te rĂ©compenserai, car notre pouvoir est trĂšs grand. Aussi Ă©berluĂ© qu'amusĂ©, PĂ©lage ne rĂ©flĂ©chit pas longtemps ce gros coquillage qui restait au fond du casier suffirait bien Ă  son repas du soir. Se penchant au-dessus de l'eau, il y dĂ©posa dĂ©licatement le petit ondin. Celui-ci plongea comme un Ă©clair puis rĂ©apparut aussitĂŽt. Sa voix Ă©tait cette fois, beaucoup plus forte -Merci, vieux PĂ©lage, merci de m'avoir libĂ©rĂ©. Pour te remercier, garde bien ce coquillage que tu as pĂȘchĂ©, car il est magique. Chaque fois que tu dĂ©sireras quelque chose, dis exactement " Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-mĂȘme et tourne ceci en mes mains ". Pour l'arrĂȘter, il suffira de lui dire " Petit coquillage des ondins, arrĂȘte ton moulin. Repose-toi jusqu'Ă  demain ! " Surtout n'oublie pas ces formules, sinon le coquillage ne t'obĂ©irait plus. Et dans un remous turquoise, le petit ondin disparu. ...Ă  suivre! _________________Belle et Douce JournĂ©e Ă  vous! /I\ FaenorRang Administrateur Nombre de messages 742Age 58Localisation Aix-en-ProvenceEmploi Conteuse-MusicienneDate d'inscription 13/11/2004Sujet Re Et la Mer devint salĂ©e...Breton Sam 28 Oct - 1129 .../... la suite!En dĂ©barquant sur les rochers de TrĂ©vignon, PĂ©lage fredonnait. Cette aventure hors du commun l'avait mis de bonne humeur mais, comme il lui arrivait de s'assoupir dans sa barque, il n'Ă©tait pas sĂ»r, au fond, de n'avoir pas rĂȘvĂ© toute cette histoire. Au moment de se mettre Ă  table devant son Ă©ternel bol de soupe, il se prit Ă  soupirer -Que j'aimerais, ce soir, manger un rĂŽti de porc bien dorĂ©, comme celui de mes noces, il y si longtemps ! Et si ce coquillage avait rĂ©ellement le pouvoir de
 Il prit son ton le plus sĂ©rieux et ordonna -Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-mĂȘme et tourne un rĂŽti en mes mains. La phrase Ă©tait Ă  peine achevĂ©e qu'un Ă©norme rĂŽti, dorĂ© Ă  point, lui sautait dans les mains. De surprise, le vieux pĂȘcheur lĂącha ce mets tombĂ© du ciel mais un second rĂŽti semblable vint aussitĂŽt le remplacer. - Oh lĂ  ! c'en est trop ! Petit coquillage des ondins, arrĂȘte ton moulin. Repose-toi jusqu'Ă  demain. Jamais PĂ©lage n'avait Ă©tĂ© Ă  pareil festin. Il s'endormit en rĂȘvant aux mille choses que le coquillage allait lui procurer dĂ©sormais. Avant le soleil levĂ©, il Ă©tait sur le port, mais comme il appareillait, la lourde voile dĂ©corĂ©e et rapiĂ©cĂ©e se dĂ©chira brusquement. Au lieu de se dĂ©soler , il pensa tout de suite au coquillage qu'il avait en poche - Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-mĂȘme et tourne une voile en mes mains. Une magnifique misaine rouge se dĂ©roula au pied du mĂąt. Le marin se pressa de lancer la seconde formule. Il n'avait que faire d'une deuxiĂšme voile semblable car la barque Ă©tait bien petite ! En voyant sortir le vieux canot arborant une fine voile rouge, les autres marins n'en croyaient pas leurs yeux. Depuis qu'ils connaissaient PĂ©lage, jamais ils ne lui avaient rien vu de neuf. OĂč pouvait-il avoir trouvĂ© de quoi s'acheter pareil grĂ©ement ? Quand, le lendemain, on le vit sortir de sa chaumiĂšre portant vareuse encore craquante d'apprĂȘt et sabots fleurant le bois fraĂźchement tranchĂ©, l'Ă©tonnement fut Ă  son comble. PĂ©lage avait-il vendu son Ăąme au diable ? Il fallait savoir. Le village dormait depuis longtemps dĂ©jĂ . Seule la lampe de PĂ©lage brillait derriĂšre les petits carreaux de la maison. La porte de la chaumiĂšre d'en face s'entrouvrit discrĂštement. Sautant le mur, une silhouette vint se hisser jusqu'Ă  la fenĂȘtre Ă©clairĂ©e. Le voisin avait Ă©tĂ© chargĂ© de surveiller les faits et gestes du " nouveau riche ". Le pĂȘcheur Ă©tait assis devant l'Ăątre, un coquillage posĂ© sur les genoux. Le voisin l'entendit nettement prononcer -Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-mĂȘme et tourne une bĂ»che en mes mains. Ebahi, le curieux vit une grosse branche de chĂȘne, sortie d'on ne sait oĂč, se placer en travers des genoux du bonhomme. Il en savait assez s'il rĂ©ussissait Ă  se saisir de ce coquillage magique, sa fortune Ă©tait assurĂ©e. Ce n'Ă©tait pas des voiles et des habits qu'il demanderait, mais de l'or et des diamants. Tapi dans l'ombre, il attendit que s'Ă©teigne la lampe de PĂ©lage. Il attendit encore et poussa la porte que le marin ne fermait jamais Ă  clef car il ne possĂ©dait rien chez lui susceptible d'attirer les voleurs
Le boulanger du port allumait son four lorsqu'il vit passer le voisin de PĂ©lage , chargĂ© d'un grand sac. - DĂ©jĂ  levĂ© Younnic ? OĂč vas-tu si tĂŽt avec ton barda sur le dos ? L'autre parut gĂȘnĂ© et pressa le pas - J'embarque pour Lorient oĂč j'ai Ă  faire. Il quittait en rĂ©alitĂ© le pays pour toujours car il emportait le coquillage magique et prĂ©fĂ©rait ĂȘtre loin avant de s'en servir. Ainsi personne ne soupçonnait la raison de sa fortune nouvelle. Une fois au large, il comptait d'abord faire changer sa barque en goĂ©lette, lui faire apparaĂźtre un Ă©quipage et aller aux AmĂ©riques oĂč il aurait carrosse, chĂąteau et jardins. Il lui fallait pour l'instant gagner la haute mer avant que PĂ©lage ne s'aperçût du larcin. Sur le coup de midi, il prĂ©para une omelette sur le fourneau du bord. Mais dans sa prĂ©cipitation il avait oubliĂ© Ă  terre sel et poivre. Passe encore une omelette sans poivre, mais sans sel quel triste menu ! - Mais mon coquillage va sĂ»rement me venir en aide ! Que disait le vieux dĂ©jĂ  ? Ah, j'y suis petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-mĂȘme et tourne du sel en mes mains. Une poignĂ©e de sel blanc bondit dans la poĂȘle. -Oh, oh pas tant, tu vas gĂącher mon omelette ! Une autre poignĂ©e avait rejoint la premiĂšre, puis une autre encore. - Merci ! Merci ! C'est trop, j'en avais bien assez d'une poignĂ©e !ArrĂȘte-toi ! Mais le sel continuait Ă  s'amonceler sur le fourneau - Cela suffit ! Vas-tu finir, maudit coquillage ?
 Le fond de la barque Ă©tait maintenant recouvert d'une Ă©paisse couche blanche qui roulait en vagues au grĂ© du roulis. Younnic en avait jusqu'aux genoux et tentait en vain de se dĂ©gager, tandis que le bateau s'enfonçait lentement. Au prix d'un terrible effort, il put agripper le mĂąt et s'y hisser. Si seulement il avait pu retrouver le coquillage et le jeter Ă  l'eau, sans doute cette marĂ©e de sel se serait-elle arrĂȘtĂ©e. Mais le coquillage Ă©tait lui-mĂȘme enseveli on ne sait oĂč. Younnic se sentit perdu. Le sel dĂ©passait le plat-bord et retombait en cascade dans la mer. La barque n'allait pas tarder Ă  couler bas. Le marin saisit une brassĂ©e de liĂšges suspendus au mĂąt et sauta Ă  l'eau
 Quelques semaines plus tard, un trois-mĂąts faisait escale aux AmĂ©riques. Le cuisinier du bord s'appelait Younnic. Un drĂŽle de cuisinier, Ă  vrai dire, car il refusait toujours de mettre du sel dans le rata de l'Ă©quipage. On racontait qu'il avait Ă©tĂ© repĂȘchĂ© en pleine mer, un paquet de liĂšges en guise de bouĂ©e
 A TrĂ©vignon comme ailleurs, les pĂȘcheurs s'aperçurent qu'ils ne rapportaient plus les mĂȘmes espĂšces dans leurs filets ; c'Ă©taient maintenant des maquereaux, des sardines et des rougets. VoilĂ  des poissons qui avait du goĂ»t ! Et puis un jour, un petit enfant qui apprenait Ă  nager au bord de la plage revint en hurlant vers sa mĂšre - Elle est salĂ©e ! Elle est salĂ©e ! On mit un bon moment Ă  comprendre il avait avalĂ© une gorgĂ©e d'eau et avait ressenti une soudaine brĂ»lure, l'eau de la mer Ă©tait salĂ©e ! On VĂ©rifia ici, on vĂ©rifia lĂ . Partout la mer Ă©tait maintenant salĂ©e
 Quelque part, au fond de la mer , un trĂšs vieux coquillage tourne sans cesse sur lui-mĂȘme et l'on raconte qu'au large des GlĂ©nan, l'OcĂ©an est toujours plus salĂ© qu'en tout autre point du Globe. Va savoir pourquoi ?
Il y a d'autres versions que je porterai tantĂŽt!si vous-mĂȘme en avez une, n'hĂ©sitez pas!! _________________Belle et Douce JournĂ©e Ă  vous! /I\ Et la Mer devint salĂ©e...Breton Page 1 sur 1 Sujets similaires» conte Breton "Scouarn, le Breton"/ Bonne lecture» Le Rhi'Mellen Conte BretonPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLJC MYTHES-CONTES-LEGENDES Contes & LĂ©gendes ContesSauter vers

LECONTE Lecture 1 POURQUOI EST Il y a longtemps vivaient en Chine deux frÚres. Cheng, l'aßné, vivait dans une belle maison, Yao-Zhou, le cadet , était pauvre et pour nourrir sa famille il partait

Qui n’a jamais constatĂ© qu’il Ă©tait plus facile de flotter et de rester Ă  la surface de l’eau Ă  la mer ? Si cela peut dĂ©router, la raison est parfaitement logique et scientifique. Le cĂ©lĂšbre ArchimĂšde a dĂ©couvert la raison de cet Ă©trange phĂ©nomĂšne il y a des milliers d’annĂ©es dĂ©jĂ . Guide-Piscine vous explique ce qu’est le principe d’ArchimĂšde et pourquoi la flottaison est diffĂ©rente dans l’eau salĂ©e et selon les individus. Le principe de la poussĂ©e d’ArchimĂšde CĂ©lĂšbre savant grec vivant au IIIe siĂšcle avant JC, ArchimĂšde a dĂ©couvert que tout corps plongĂ© dans un liquide subit une poussĂ©e du bas vers le haut Ă©quivalente au poids du volume de fluide dĂ©placĂ©. Cette dĂ©couverte est Ă  la base du principe mĂȘme de la flottaison. Flottaison eau salĂ©e contre eau douce Si vous vous baignez en mer, vous constaterez que vous avez beaucoup plus de facilitĂ© Ă  flotter. Faites la planche en piscine puis en mer et vous verrez la diffĂ©rence ! Mais pourquoi flotte-t-on mieux dans de l’eau salĂ©e ? Un volume d’eau salĂ©e pĂšse davantage que son mĂȘme volume d’eau douce Ă  cause du sel qu’elle contient. Et si l’on en croit le principe d’ArchimĂšde selon lequel tout corps plongĂ© dans un liquide subit une poussĂ©e du bas vers le haut Ă©quivalente au poids du volume de fluide dĂ©placĂ© », la poussĂ©e d’ArchimĂšde est plus grande dans l’eau salĂ©e. Faites l’expĂ©rience de plonger un Ɠuf dans un verre d’eau rempli aux trois quarts. L’Ɠuf va couler car il est plus lourd que le volume d’eau dĂ©placĂ© ou plus dense. Ajoutez du sel dans le verre progressivement et vous constaterez que l’Ɠuf remonte lentement Ă  la surface de l’eau. Tout le monde flotte de la mĂȘme maniĂšre ? Comme il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© prĂ©cĂ©demment, la flottaison d’un corps dĂ©pend de sa densitĂ©. Plus un corps est dense plus il a tendance Ă  couler. C’est pour cette raison que les jambes s’enfoncent plus facilement dans l’eau car elles sont plus denses que la cage thoracique avec les poumons remplis d’air. Le cas de la mer Morte Selon la lĂ©gende, il est beaucoup plus facile de flotter dans la mer Morte. Mais pourquoi donc ?Sachez qu’un litre d’eau de mer contient environ 35 g de sel par litre. Un litre d’eau de la mer Morte en contient 275 g car cette mer est totalement fermĂ©e, l’eau s’y Ă©vapore et la quantitĂ© de sel reste la mĂȘme ! L’eau y est donc beaucoup plus dense, beaucoup plus lourde et la poussĂ©e d’ArchimĂšde y est beaucoup plus forte. C’est pour cette raison que la flottaison est bien meilleure dans la mer Morte. DĂ©couvrez Ă©galement les bienfaits de l'eau de mer sur votre peau. Historique: D'origine sans pruneaux, le far Breton est une spĂ©cialitĂ© qui date de la fin du XVIIĂšme siĂšcle, voire peut-ĂȘtre avant. On retrouve les premiers fars du temps des gruaux. Bouillie Ă  base de blĂ© noir, de froment ou d'avoine, elles constituaient la nourriture de base des Bretons. A l'origine, ce gruau Ă©tait cuit dans un sac en Navigation Accueil - Recherche Les deux Bossus, des Korrigans et un plat de pĂątes... - HĂ©lĂšne Du gouezou vraz Lecture Ar Men DurĂ©e 11min Fichier mp3 de 9,5 Mo Voir la fiche... Des Korrigans, des Poulpikans et des Moutons - HĂ©lĂšne Du gouezou vraz Lecture Ar Men DurĂ©e 09min Fichier mp3 de 7,9 Mo Voir la fiche... Le Rossignol de Lambezellec Berthe Sylva, la chanson lacrymale et... - HĂ©lĂšne Du gouezou vraz Lecture Ar Men DurĂ©e 14min Fichier mp3 de 12,7 Mo Voir la fiche... Myrrha, vierge et martyre - Jules LemaĂźtre Lecture Daniel Luttringer DurĂ©e 44min Fichier mp3 de 40 Mo Voir la fiche... Le Miracle de la Soupe - HĂ©lĂšne Du gouezou vraz Lecture Ar Men DurĂ©e 12min Fichier mp3 de 10,6 Mo Voir la fiche... 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Pourquoi l'eau de mer est-elle salĂ©e ? 000142 Alix, 5 ans, se demande pour la mer est salĂ©e. Si la mer est salĂ©e, ce n'est pas Ă  cause des pĂȘcheurs qui s'amusent Ă  renverser la saliĂšre dans l'eau. Pour comprendre, il faut remonter le temps avant mĂȘme l'Ă©poque des dinosaures, il y a 3,8 milliards d'annĂ©es quand les ocĂ©ans se sont formĂ©s. À cette Ă©poque, des pluies diluviennes se sont abattues sur notre planĂšte et au contact de l'eau les roches se sont dissoutes. Or, celles-ci Ă©taient salĂ©es. En ruisselant jusqu'Ă  la mer, les gouttes d'eau ont formĂ© des riviĂšres et des torrents qui ont charriĂ© les sels minĂ©raux contenus dans les roches. RĂ©sultat une accumulation d'eau salĂ©e. Mais niveau sel, toutes les mers et tous les ocĂ©ans ne se valent pas. Si vous vous baignez dans la mer baltique, au nord de l'Europe, vous aurez trĂšs peu de sel, 10 g/l. En revanche, dans la mer morte, au Proche-Orient, ça risque de piquer un peu, 260 g/l. La MĂ©diterranĂ©e, elle, est un tout petit plus salĂ©e que l'ocĂ©an Atlantique. Pourquoi la pluie n'est pas salĂ©eMais alors pourquoi la pluie, qui est en rĂ©alitĂ© de l'eau de mer qui s'est Ă©vaporĂ©e et nous retombe dessus, n'est-elle pas salĂ©e ? Simplement parce que l'eau s'Ă©vapore mais pas les cristaux de sel qui finissent par ĂȘtre absorbĂ©s par les fonds marins. Conclusion le niveau de sel et le niveau de l'eau restent constants car finalement les choses ne sont pas si mal faites. L’actualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă  votre compte RTL abonnez-vous Ă  la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien S’abonner Ă  la Newsletter RTL Info

FacebookGOURMANDIG, authentiques biscuits et gĂąteaux bretons aux parfums Ă©tonnants #1 L’histoire Gourmandig est nĂ©e d’une belle amitiĂ© professionnelle, entre Alexandre et Victor. Cette amitiĂ© est fondĂ©e sur une passion commune : leur mĂ©tier de pĂątissier. DĂ©fenseurs du savoir-faire breton, ils dĂ©cident de faire revivre une crĂȘperie-biscuiterie artisanale Ă  QuimperlĂ©. Alexandre
En ces temps-lĂ , il y a trĂšs longtemps, les hommes aimaient inventer des histoires pour expliquer ce qu’ils ne comprenaient pas. Voici ce qu’ils racontaient dans les cahutes pour expliquer pourquoi l’eau de la mer est salĂ©e. Bien installĂ©s auprĂšs d’un feu de bois. Dehors la fureur des Ă©lĂ©ments, le froid, le frima, le vent souffle sur les volets battants, la pluie frappe sur les carreaux dĂ©polis. Dans la cheminĂ©e le feu crĂ©pite. L’éclairage des flammes baigne les visages rĂ©jouis, rayonnants dans une lueur Ă©trange, presque irrĂ©elle, vaporeuse. On est bien chez soi, Ă  l’abri, au chaud. Une loque sur les Ă©paules, les pieds dans de bonnes vieilles charentaises, les yeux rivĂ©s sur le conteur qui va nous plonger dans une bien belle histoire, on est heureux... Il Ă©tait une fois, il y a trĂšs longtemps, un pauvre bĂ»cheron. Un soir, alors qu’il prĂ©parait son dĂźner, un tout petit homme apparut et lui tint Ă  peu prĂšs ce language Je suis le nain Flic-Floc, j’ai faim". " Assieds-toi Ă  cĂŽtĂ© de moi, rĂ©pondit le bĂ»cheron, nous allons partager mon repas". Ils se mirent Ă  table et vidĂšrent ensemble une marmite de soupe de lĂ©gumes bien chaude avec quelques saucisses la fin du repas, le nain Flic-Floc dit au bĂ»cheron Tu es gĂ©nĂ©reux. Alors, je vais te faire un cadeau. Voici pour toi un moulin, un moulin magique. Il suffit de dire Petit moulin, il faut me moudre ceci et le moudre bien vite pour qu’il se mette Ă  moudre tout ce que tu dĂ©sires. Pour l’arrĂȘter, tu n’auras qu’à dire maralata-maliba. » Et le nain disparut trĂšs bĂ»cheron posa le moulin devant sa vieille cabane et lui dit Petit moulin, il faut me moudre une belle maison et la moudre bien vite. » Et le petit moulin se mit Ă  moudre la plus jolie des maisons. Comme le moulin finissait de moudre la derniĂšre tuile du toit, le bĂ»cheron s’écria maralata-maliba. ! » et le moulin s’ le bĂ»cheron porta le moulin dans le prĂ© et lui dit Petit moulin, il faut me moudre des animaux et les moudre bien vite. » Et le moulin se mit Ă  moudre des moutons, des chevaux et des cochons. Comme le petit moulin finissait de moudre la queue du dernier petit cochon, le bĂ»cheron s’écria maralata-maliba ! » et le moulin s’arrĂȘta. Ensuite, le bĂ»cheron fit la mĂȘme chose avec les vĂȘtements chaussettes, pantalons, tricots, bonnets
Si bien qu’à la fin, il eut tout ce qu’il lui il rangea le moulin magique et n’y pensa ces entrefaits, un jour, le capitaine d’un grand bateau de pĂȘche arriva chez le bĂ»cheron. Il venait acheter le plus beau des arbres de la forĂȘt pour remplacer le mĂąt de son bateau cassĂ© par la tempĂȘte. Il voulait aussi de belles planches bien solides pour rĂ©parer la coque de son bateau. Le bĂ»cheron l’écouta et lui dit Pas de problĂšme, dĂšs demain tout sera prĂȘt ! » Alors, il alla chercher le moulin magique et dit Petit moulin, il faut me moudre de belles planches et les moudre bien vite. » Et le moulin se mit Ă  moudre les planches sous les yeux Ă©merveillĂ©s du lendemain matin, le capitaine vint rĂ©cupĂ©rer les planches et pendant que le bĂ»cheron avait le dos tournĂ©, il vola le moulin et courut jusqu’à son bateau. DĂšs qu’il fut en mer, le capitaine appela les matelots Allez chercher les tonneaux de sel, nous allons les remplir ! » Puis il prit le petit moulin et lui dit Petit moulin, il faut me moudre du sel et le moudre bien vite. » Et le moulin se mit Ă  moudre, Ă  moudre du sel, du beau sel blanc tout en poudre les tonneaux furent pleins, le capitaine lui dit En voilĂ  assez, petit moulin, nous avons de quoi saler toutes les morues et tous les harengs que nous pĂȘcherons. » Mais le moulin continuait de moudre du beau sel blanc tout en poudre fine. Et le sel s’amassait sur le pont du bateau. Assez, criait le capitaine furieux, assez ! » Mais le moulin ne voulait rien savoir. Et le sel commençait Ă  remplir les cales du bateau. A la fin, comme le bateau trop chargĂ© allait couler, le capitaine prit le moulin et le jeta par-dessus bord. Le moulin tomba au fond de la le moulin continua Ă  moudre du beau sel blanc tout en poudre fine
 Et c’est depuis ce jour, que l’eau de la mer est salĂ©e...Conte chinois, remaniĂ©
\n \n conte breton pourquoi la mer est salée
LescrĂȘpes salĂ©es s’appellent des galettes. L e kouing amann est un gĂąteau avec b eaucoup de beurre et de sucre. Le far breton est un flan enrichi aux pruneaux, a ux raisins secs ou aux pommes. Les palets bretons sont des petits gĂąteaux ronds et Ă©pais au beurre. La Bretagne est aussi le pays du cidre. Le chouchen est un alcool Ă  base de ï»żPourquoi la mer est salĂ©e Grande question ! Format imprimable pour imprimer le conte Pourquoi la mer est salĂ©e?Il y a trĂšs longtemps, dans un petit village, vivait un pĂȘcheur trĂšs pauvre accompagnĂ© de sa femme et de ses sept enfants. À NoĂ«l, sa femme l'envoya chercher de l'argent chez son frĂšre qui Ă©tait trĂšs riche. Une fois rendu, le pauvre homme demanda Ă  son frĂšre un peu d'argent et ce dernier lui rĂ©pondit"Va au diable!" en lui lançant un sabot de s'en alla, le sabot Ă  la main en suivant un chemin au hasard. Il rencontra des bĂ»cherons Ă  qui il demanda le chemin pour aller chez le diable. Les bĂ»cherons lui indiquĂšrent le chemin. Le pauvre homme s'en alla et il aperçut la maison du diable. Il frappa Ă  la porte. Le diable Ă©tait assis devant un poĂȘle de pierre et il rugissa"Bienvenue l'ami". "Je vous ai apportĂ© un cadeau" dit le pauvre homme en lui tendant le sabot. "Tu mĂ©rites une rĂ©compense, dit Heesi le diable, que veux-tu?". "Je voudrais la meule accrochĂ©e au mur!". Heesi ne voulait pas se sĂ©parer de sa meule, mais l'homme Ă©tait bien tĂȘtu. "Bon, d'accord!". Puis le diable lui donna les instructions d'utilisation de la meule et il partit. Rendu chez lui, la meule prĂ©para un trĂšs bon repas pour la famille. Le frĂšre riche arriva et demanda Ă  son frĂšre la permission d'utiliser la meule et il accepta sans hĂ©siter. Le frĂšre riche alla pĂȘcher et voulu saler ses poissons tout de suite. Il dit Ă  la meule de lui donner autant de sel qu'elle le pouvait. Le frĂšre riche Ă©tait fier. Mais, dans son excitation, il avait oubliĂ© de demander Ă  son frĂšre comment arrĂȘter la meule. Pour l'arrĂȘter, il disait n'importe quelle formule sans parvenir Ă  l'arrĂȘter. Le bateau devint si lourd de sel qu'il sombra. Le plus souvent, c'est en Finlande qu'on raconte cette lĂ©gende... Les contes sont la propriĂ©tĂ© de leurs auteurs. Envoyez moi vos contes sur ce mail ajoutez votre nom, prĂ©nom et Ăąge, je les mettrai en ligne avec plaisir! Isabelle de Wqdw. 276 63 41 147 219 331 106 298 183

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