Cest à travers le jeu que les enfants découvrent comment interagir avec le monde qui les entoure. Par ailleurs, jouer dans une langue étrangère permet : de développer plusieurs compétences simultanément : cognitives, motrices, sociales et linguistiques; de se concentrer sur le plaisir et d’arrêter de se focaliser sur la grammaire. Une pulsion est un mouvement venu du plus profond de soi qui pousse à la réalisation d’un désir. Pulsion de vie libido, sexualité et pulsion de mort sont les deux pulsions fondamentales. Identifiées et théorisées dès les débuts de la psychanalyse par Sigmund Freud, elles constituent les moteurs essentiels de notre vie psychique et de notre vie tout et inconscientes, les pulsions doivent être réfrénées, canalisées, pour que la vie personnelle et la vie sociale ne se transforment pas en une jungle dans laquelle chacun ne cherche que leur satisfaction. Les tabous de l’inceste par exemple, la morale “tu ne tueras pas“ et les lois se sont élaborés à cette rôle de l'éducationIl reste qu’au niveau de l’individu nous luttons constamment contre nos pulsions. Et l’éducation donnée aux enfants a notamment pour objet de leur apprendre cette maîtrise. Maîtrise de la colère, de l’agressivité, du désir sexuel…L’incapacité à maîtriser ses pulsions relève de la psychopathologie dans les cas graves. Plus banalement, au quotidien, l’impulsivité excessive relève plutôt du handicap social et devient une source de malaise et de mal-être pour celui qui en instinct, désir…La pulsion par définition est contrôlable on peut s’empêcher d’allumer une cigarette, mais pas le réflexe instinctif on retire sa main du feu.Il est normal et souhaitable de contrôler ses pulsions dans le cadre de sa relation aux autres, mais aussi pour sa propre préservation pulsions suicidaires, automutilantes…. Pour autant, cela ne signifie pas de devoir oblitérer le désir et les émotions dont elles partent. Il faut éviter de se jeter sur autrui avec un couteau, ce qui n’interdit pas de ressentir de la colère. On peut ressentir du désir pour quelqu’un et… éviter de se jeter sur cette personne sans son accord. Renoncer à la pulsion ne doit pas mener à renoncer au désir, sauf à renoncer à toute vie intérieure, voire à toute vie tout bienfaits de la pulsion maîtriséeCanalisée, maîtrisée, la pulsion est un moteur. Un moteur énergétique qui donne la force d’agir et des objectifs. La pulsion dominée devient une source de créativité artistique. Ce qui n’empêche pas d’en passer par l’acquisition d’une technique ; les pulsions, par définition, ne fournissant que le brouillon…Chez l’enfant, l’apprentissage des frustrations, qui passe par l’interdiction du caprice et de la colère comme moyen d’expression, permet le développement du raisonnement. Vers 6-7 ans, ayant dépassé la pulsion œdipienne en intériorisant l’interdit de l’inceste, l’enfant accepte aussi la règle sociale, c’est-à-dire les frustrations et la notion qu’il est nécessaire d’effectuer des efforts en vue d’une contrepartie désirée. Il entre dans le raisonnement, et son cerveau, libéré des envahissements émotionnels, est prêt pour les pulsion maîtrisée enfin est aussi celle de l’intelligence émotionnelle, celle qui permet de se détacher de son propre affect pour comprendre celui des autres et de développer harmonieusement ses capacités de techniques pour maîtriser ses pulsionsPour maîtriser ses pulsions, il faut permettre à son esprit au surmoi, de reprendre les rênes et d’arrêter le mouvement. Se poser, réfléchir, la mesure où la pulsion a d’abord une origine corporelle, les thérapies qui visent à la relaxation sont particulièrement intéressantes. Elles permettent de soulager les tensions intérieures, physiques d’abord, psychiques ensuite, qui sous-tendent la pulsion. Ce qui donne à l’esprit le temps de reprendre le contrôle par la les psychothérapies, particulièrement la psychanalyse, permettent d’atteindre à une compréhension de soi en mettant au jour nos pulsions inconscientes ou en travaillant à leur lire- Les pulsions, Dominique Scarfone, coll. Que-sais-je ?, éd. Puf. - Trois essais sur la théorie de la sexualité, Sigmund Freud, éd. Gallimard. Alorsarme-toi de courage et travaille bien ! Écoute ce qu'une vieille femme qui va mourir a à te dire : apprends à lire, apprends à écrire, apprends à compter, apprends à parler. Apprends. C'est ta seule chance de ne pas nous ressembler. Apprends. Promets-le-moi. Nawal. Je te le promets. Nazira. Ils m'enterreront dans deux jours. Ils me mettront en terre, le visage tourné vers le ciel Comment apprendre à écrire à son enfant ? Une question que beaucoup de parents se posent. Que ça soit suite à la demande de leur enfant, dans le cadre de l’instruction en famille, ou pour l’aider en complément de l’école. Dans la progression proposée par la pédagogie Montessori, l’apprentissage de l’écriture précède celui de la lecture. L’enfant doit en effet d’abord apprendre à encoder avant de pouvoir décoder le code alphabétique. Votre enfant pourra ainsi apprendre à lire et à écrire aisément, et ce dès la maternelle. La seule condition est que l’enfant soit demandeur et qu’il y trouve du sens ! Un enfant motivé apprendra très facilement si vous lui apportez l’aide dont il a besoin au bon moment. Découvrons donc ensemble les outils nécessaires à l’encodage des sons et à l’écriture. Si vous souhaitez aller plus loin, Amina du site oummi-academie propose un atelier gratuit sur les 5 signes indiscutables pour repérer l’entrée en période sensible de la lecture, ainsi qu’une formation complète pour accompagner votre enfant jusqu’à la lecture. TU SOUHAITES ORGANISER LES APPRENTISSAGES DE TES ENFANTS ? Dans cet atelier, je t’expliquerai Ce qu'est réellement la pédagogie Montessori Comment apprennent les enfants Quoi observer pour leur proposer des activités adaptées S'il est possible de la mettre en place à la maison malgré le budget, la place et tant d'autre choses qui te freinent pour te lancer ! Quels bienfaits cette pédagogie peut avoir sur tes enfants et leur épanouissement Les lettres rugueuses Lorsque votre enfant s’est suffisamment entraîné à repérer les sons dans un mot et qu’il répond sans hésiter à la question par quel son commence ou termine tel mot? », vous allez pouvoir lui apporter les clés du code alphabétique. Cela lui permettra d’encoder les sons composant les mots sous formes de lettres. C’est seulement une fois qu’il aura pratiqué suffisamment le codage qu’il arrivera à décoder et donc à lire. La présentation du code alphabétique Pour cela, vous utiliserez les lettres rugueuses et les graphèmes rugueux, que nous mettrons en relation avec les sons que l’enfant connaît. Ici encore, on n’utilisera que le son de la lettre et non son nom. Ainsi l’enfant accédera rapidement à la lecture car il ne sera pas embrouillé entre son et nom de la lettre. Ça n’est qu’une fois le mécanisme de lecture enclenché que nous pourrons enseigner à l’enfant le nom des lettres. Les lettres rugueuses sont des lettres cursives découpées dans du papier de verre. Celles-ci sont ensuite collées sur des planchettes de bois ou de carton. Nous allons les présenter 3 par 3 à l’enfant, à l’aide d’une leçon en 3 temps. Commencez avec des sons faciles à entendre tels que /o/, /i/, /a/, /ch/, /ou/, /s/, ou encore /l/. Vous pourrez également choisir des sons familiers à l’enfant, tels que ceux de son prénom. Essayez également de choisir des lettres distinctes dans leur forme pour éviter les confusions. Pour présenter une lettre, vous prononcerez le son de la lettre en même temps que vous la tracerez avec votre index et votre majeur. Puis, ça sera le tour de l’enfant. Cette approche est dite multi-sensorielle, et renforce l’apprentissage. L’enfant va en effet mobiliser sa vue en visualisant la lettre, le toucher par le tracé et l’ouïe avec la prononciation du son. Comment apprendre à écrire grâce à la mémoire musculaire ? Dans son livre Pédagogie scientifique, tome 1 La maison des enfants », Maria Montessori nous dit La mémoire musculaire est la plus tenace chez le petit enfant, et aussi la mieux prête, puisque, s’il ne reconnaît pas la lettre en la regardant, il la reconnaît en la insiste ainsi sur l’apprentissage par le toucher. C’est d’ailleurs pour elle le point d’intérêt de cette activité la sensation tactile et non l’image visuelle. C’est cela qui poussera l’enfant à répéter plusieurs fois le tracé de la lettre. De ce fait son geste sera gravé dans sa mémoire, grâce à la mémoire musculaire. Cette activité permettra également l’auto-correction. L’enfant sera en effet guidé par le papier de verre. S’il ne trace pas correctement, il s’en rendra compte rapidement de part la sensation de lisse sous ses est important que l’enfant ait pu exercer sa main et son toucher à l’aide des différents exercices de vie sensorielle. Il accrochera ainsi mieux aux lettres rugueuses, et en tirera plus de bénéfices. Les activités de vie sensorielle ne sont donc pas à négliger et préparent indirectement à l’écriture. On parlera ici notamment des tablettes rugueuses. Mais aussi de toutes les activités développant le mouvement précis de la main. Comme par exemple le cabinet de géométrie, qui invite l’enfant à suivre de sa main le contour de différentes formes géométriques. Apprentissage des lettres cursives Une petite précision quant au choix de la police utilisée lors de l’apprentissage. Il est vrai que notre environnement présente de nombreux supports en script, et très peu en cursif. Les affiches, les panneaux, les livres pour enfants etc… On peut alors se demander quel intérêt à apprendre à un enfant les lettres cursives puisqu’elles ne sont que très peu utilisées pour la lecture ? Comme nous l’avons vu, nous présentons à l’enfant les lettres de l’alphabet de manière multi-sensorielle. Et c’est le tracé de la lettre qui va préparer l’enfant à son apprentissage futur de l’écriture manuscrite. Même si celle-ci n’apparaîtra que plus tard. Car à ce stade, la maturité motrice de l’enfant n’est pas encore suffisante pour qu’il puisse écrire avec suffisamment de précision. Mais, ne pourrait-on pas apprendre à l’enfant à écrire directement en script ? De manière naturelle, et d’autant plus chez les jeunes enfants, la main effectue des mouvements circulaires et ne trace pas de traits. Il est plus difficile donc de tracer des lettres bâtons » que de faire des lettres rondes. Il suffit pour cela de regarder les premiers gribouillages des enfants, qui sont constitués de boucles. Maria Montessori avait également remarqué chez des enfants déficients qu’ils n’arrivaient pas à remplir correctement une page d’écriture avec des traits verticaux. Arrivés à la fin de la page, les traits se terminaient par des courbes. Les enfants ne pouvant pas maintenir leurs efforts de concentration suffisamment longtemps pour terminer leur exercice, le mouvement naturel de la main reprenait le dessus. Cela nous montre bien que, malgré les croyances, il est plus simple et naturel pour l’enfant d’apprendre à écrire directement en cursif et non en script ou en majuscules. Comment apprendre à écrire avec l'alphabet mobile ? Nous voilà arrivés à l’étape de l’écriture. Il ne s’agit pas encore de l’écriture manuscrite, les capacités de l’enfant ne le lui permettant pas encore. Mais il s’agira ici pour l’enfant de mobiliser ce qu’il a appris pour pouvoir coder les sons composant un mot sous forme de lettres. Et pour cela, il utilisera des lettres mobiles. Il pourra ainsi écrire ses premiers mots sans avoir à maîtriser le geste graphique. L'utilisation des lettres mobiles Vous commencerez par des mots courts, dont les sons sont bien distincts, pour ne pas mettre l’enfant en difficulté. Cela pourra être par exemple les mots sac, os, fil, vis ou encore bol. Vous pouvez utiliser des figurines ou des images pour proposer les différents mots à l’enfant. Invitez-le ainsi à repérer le premier son du mot. Puis, à retrouver la lettre correspondante, qu’il placera sur son tapis. Un tapis à lignes peut d’ailleurs être utilisé pour cette activité, afin d’aider votre enfant à positionner les lettres les unes à côté des autres. Puis vous ferez de même avec le son suivant, puis le son final. Ainsi l’enfant aura codé et écrit son premier mot !À ce stade, pas d’inquiétude si l’enfant écrit avec des fautes d’orthographe. Le but ici est de coder les sons sous formes de lettres, et donc d’écrire phonétiquement. L’orthographe viendra plus tard. Vous pourrez y prêter d’avantage attention lorsqu’il sera en capacité de se relire. En effet, quand l’enfant commence à manipuler l’alphabet mobile, celui-ci ne se relie pas car il ne sait pas encore faire. L'automatisation du codage Par la suite, une fois que l’enfant maîtrise le principe du codage, vous pourrez lui proposer d’écrire des mots qu’il aura lui-même choisis. Cela peut tourner autour de ses centres d’intérêts le nom de véhicules, le nom d’animaux, le nom de couleurs, ou encore le nom des membres de sa famille. Encouragez-le à écrire ce qui lui passe par la tête, que ça soit des mots, ou des phrases plus longues. Vous pouvez également utiliser les dictées muettes, que vous retrouverez sur la boutique. Il s’agit de séries de petites images, dont l’enfant devra écrire le nom à l’aide de l’alphabet l’enfant aura manipulé l’alphabet mobile et que le codage commencera à s’automatiser, il arrivera à un stade où il commencera à se relire. Lorsque ça sera le cas, il sera prêt à passer à l’étape de la lecture, que nous verrons dans un prochain article. L'écriture manuscrite Comme nous l’avons déjà dit, l’écriture manuscrite n’apparaîtra chez l’enfant que plus tard, aux alentours de 5 ans. Sans rentrer dans les détails, voici les activités qui aident l’enfant à entrer dans ce processus d’écriture. Comment se préparer à apprendre à écrire ? Les activités de vie pratique et de vie sensorielle ont là encore toute leur importance. En effet elles préparent indirectement la main à la tenue du stylo avec 3 doigts, à la légèreté et à la précision du geste. Et, comme nous l’avons vu plus haut, les lettres rugueuses sont également une étape importante dans la préparation à l’ formes à dessins sont une activité proposée aux enfants aux alentours de 4 ans. Celle-ci consiste à tracer les contours d’une forme géométrique puis de les colorier à l’aide de crayons de couleurs. Elle prépare ainsi directement à l’écriture puisque l’enfant apprend à tenir son crayon, à fluidifier son geste et à gérer l’espace graphique sur la feuille. Dans le même ordre d’idées, le coloriage de mandalas et le poinçonnage peuvent être proposées en vue de préparer la main à l’écriture. Les activités d'écriture Puis, à l’aide des ardoises, l’enfant tracera ses premières lettres. Sur une ardoise vierge d’abord, dans de grands carrés, puis dans des interlignes et enfin sur une ligne. Ce travail peut également se faire sur de petits cahiers. Après les lettres, viendra l’écriture de mots, puis de parallèle, des activités de tri des lettres en fonction de leur forme ou de leur position sur la ligne aidera l’enfant à toujours mieux positionner ses lettres et affiner son dernier conseil prenez plaisir à écrire avec votre enfant ! Proposez-lui d’écrire des choses qui ont du sens pour lui, afin d’éveiller son intérêt et son goût pour l’écriture. J’espère que cet article vous a plu, et que vous savez désormais comment apprendre à écrire à votre enfant, dernière étape avant de s’envoler vers le monde de la lecture. Si vous souhaitez aller plus loin, Amina du site oummi-academie propose un atelier gratuit sur les 5 signes indiscutables pour repérer l’entrée en période sensible de la lecture, ainsi qu’une formation complète pour accompagner votre enfant jusqu’à la lecture. Et vous ? Comment se passe l’apprentissage de l’écriture avec votre enfant ? Quel est le premier mot qu’il a composé ? N’hésitez pas à partagez votre expérience ou à poser vos questions en commentaire. Si cet article vous a plu, partagez-le sur Pinterest !

Translationsin context of "apprendre à me taire" in French-English from Reverso Context: Parfois, c'est moi qui devrais apprendre à me taire.

De plus en plus d’adultes sont demandeurs de formations pour mieux comprendre leurs émotions et ce qu’elles suscitent. Ces formations sont des accompagnements pédagogiques, simples et accessibles à tous. Des exercices y sont proposés et chacun se nourrit de la situation formatrice que constitue la rencontre dynamique d’un groupe de stagiaires en questionnement et le professionnalisme du formateur. Ces formations participent à la régulation non-violente des conflits, notamment dans le milieu scolaire. Comment faire avec nos peurs, nous en servir, sans nous laisser instrumentaliser ni submerger par elles ? Cela s’apprend. Il s’agit bien sûr de connaître la panoplie et les fonctions des émotions, les invariants des mécanismes émotionnels. Les auteurs [1] sont nombreux à avoir écrit sur le sujet, ils se répondent, se nuancent, parfois se recopient. Les chercheurs en neurobiologie, tels Damasio [2], n’arrêtent pas d’en découvrir de nouveaux aspects… Des exercices pour apprivoiser ses peurs… Mais pour progresser vers une gestion non-violente de nos propres peurs, il est nécessaire de reconnaître en nous telle ou telle inquiétude particulière, occasionnelle ou répétitive, de comprendre ce qu’elle nous indique, ce qu’elle déclenche et ce que nous pouvons en faire. Il nous faut converser avec nos propres émotions pour en prendre la responsabilité et les convertir en actions raisonnées et responsables. Il est nécessaire de nous y exercer régulièrement, comme on s’entraîne à la gymnastique… ou à la méditation. Cet enfant n’a peur de rien, un jour il lui arrivera quelque chose ! Sous-entendu quelque chose de grave ! Cette formule populaire dit combien nos peurs font partie de notre équipement de survie, en jouant un rôle d’alerte et de stimulation de notre vigilance ! Quand on sait écouter ses peurs, les mettre à distance et les contenir, on peut s’en faire des alliées. Les peurs enclenchent des mécanismes de défense que nous pouvons transformer en outils de protection » pour nous-mêmes et pour nos proches[3]. Mais quand on nie avoir peur, ces peurs occultées deviennent mauvaises conseillères ». Certaines personnes ont, au contraire, tendance à suralimenter leurs appréhensions, à angoisser par anticipation au lieu d’examiner ce qui dépend d’elles pour se sauver ». Dans l’urgence, la peur peut aussi dégénérer en panique destructrice, tel le piétinement redouté par une foule de personnes à terre. Certaines angoisses sont pathologiques. Les addictions d’ailleurs sont souvent des tentatives d’oubli de ces peurs drogue, jeux, ou violence — dite gratuite par ceux qui en font les frais sans la comprendre. Une simple formation ne peut soigner cela ! Dans l’émotion, j’ai tendance à… En stage de formation professionnelle, si possible hors du site de travail et hors de toutes relations hiérarchiques, je propose certains exercices qui permettent un recentrage sur les émotions que ces professionnels de terrain vivent le plus couramment dans l’exercice de leur métier, dont des peurs diverses et variées qui sont parfois leur lot quotidien. À titre d’exemple, j’évoquerai cet exercice dont l’objectif est d’aider les stagiaires à prendre conscience de la façon dont ils ont tendance à réagir quand ils sont dans l’émotion, ou bien face à l’émotion d’une autre personne. Cet exercice commence par un temps de travail individuel et silencieux, guidé par quelques questions méticuleusement choisies. Je propose aux personnes de se mettre en évocation mentale » d’émotions réellement vécues, en les ressentant » à nouveau pour cela, nous commençons par nous détendre, respirer tranquillement, oublier le voisinage, etc.. Les stagiaires sont invités à simplement décrire ce qu’ils ont senti dans leurs corps est-ce le cœur qui bat plus vite ? La gorge qui s’assèche ? L’estomac qui se contracte ? Les poils qui se hérissent ? La chair de poule qui couvre les bras ? À chacun ses spécialités… Est-ce que mon corps laisse voir à mon entourage cette émotion qui me traverse ? Est-ce qu’un habituel flegme ou un calme de façade rend insoupçonnable mon véritable état émotionnel ? Petit à petit, chacun apprend à voir venir » son émotion, pour s’en saisir assez tôt afin de l’interroger sans se laisser emporter » par elle. Chacun met à jour les émotions qui le perturbent davantage, ou au contraire celles avec lesquelles il se débrouille assez bien » en effet une personne peut être coléreuse de tempérament et très bien s’assumer comme telle. Mais telle autre se laissera paralyser rien qu’à l’idée de peut-être croiser ce collègue dont les réactions l’inquiètent… Est-ce facile ou difficile de mettre des mots clairs sur mes émotions ? Dans quel contexte puis-je en parler ou non ? Les personnes repèrent ce qui favorise un apaisement ou ce qui complique les choses. Nous travaillons aussi sur nos réactions face à une ou plusieurs personnes angoissées, paniquées, ou seulement inquiètes. Il n’est pas inutile pour des éducateurs de s’interroger sur leur attitude face à un enfant qui a peur d’eux, ou un jeune qui leur fait peur… et sur ce qui pourrait être la posture la plus adaptée dans telle ou telle situation conflictuelle précise. Les échanges se font d’abord par très petits groupes composés par affinités, sans aucune obligation. On ne partage que ce que l’on a envie de partager… pour mutualiser tout ce qui aide à canaliser ses propres peurs agir sur son corps, respirer volontairement plus lentement et plus profondément, s’ancrer dans une posture stable, abaisser son centre de gravité, augmenter sa surface de sustentation, desserrer les inutiles contractions musculaires, et puis agir sur son mental, entrer en conversation bienveillante avec soi-même auto-réconfort, se souvenir de mauvais moments où l’on a su s’en tirer auto-réassurance, se concentrer sur notre mission professionnelle du moment, se fixer des priorités d’urgences, réciter le protocole de crise appris recentrage, inventorier les ressources appuis, etc. La formatrice aide à nommer et trier ce qui se dit. Précautions d’usage Il ne s’agit pas d’une simple conversation. Pratiquer de tels exercices suppose de poser et de garantir rigoureusement un cadre de respect et de confidentialité, d’écoute sans interprétation ni aucun commentaire, pour qu’un climat de confiance autorise un échange parfois assez intime, ceci sans quitter la sphère professionnelle qui nous occupe. Comment pourrait-on apaiser des peurs si le cadre de travail n’était pas lui-même sécurisant ? Chacun reste toujours libre de se taire et responsable de ce qu’il choisit de dire. Certaines personnes discrètes sont dans un grand travail intérieur, ou écoutent avec beaucoup d’attention ce qui se dit. Attention, il ne s’agit pas d’une psychothérapie mais d’un simple accompagnement pédagogique au sein d’un groupe, pour que les participants gagnent en aisance, en bien-être et en efficacité dans l’exercice de leur métier et dans la régulation des inévitables conflits qui vont avec. Tant mieux si cela leur fait du bien au-delà du métier, et si cela les aide à aller mieux là où elles ont envie d’aller. Parfois une de ces personnes décide de creuser plus loin dans un travail personnel sur elle-même, dans un cadre thérapeutique adapté. Le bénévole associatif, le responsable hiérarchique ou le professeur ne sont pas des psychologues ni des thérapeutes, ils ne sont pas non plus nécessairement des assistants sociaux ou des pompiers ; mais s’ils veulent pouvoir faire leur travail normalement, ils doivent savoir un minimum pour accueillir les émotions, détecter les signes précurseurs et déclencheurs de crise, et contenir les débordements. Car une personne qui ne se sent pas entendue dans son émotion ou sa souffrance risque d’ exploser ». Savoir calmer le jeu est un préalable pour ensuite traiter le problème sous-jacent, ou passer le relais à un professionnel compétent. Émotion, besoin, attente, demande, jugement, sentiment De nombreux exercices ludiques et plus mobiles permettent de jouer l’expression d’une émotion[4], d’identifier et d’accueillir l’émotion de l’autre, de s’entraîner à l’écoute empathique, d’améliorer ses capacités de discernement celui qui vient vers moi avec sa peur a besoin de sécurité, certes, mais ce jour-là, attend-il de moi plutôt une action, un conseil, une analyse de ce qu’il lui arrive, une aide concrète, un réconfort moral, ou peut-être seulement un temps d’écoute sincère pour pouvoir vider son sac ? Il a lieu de bien distinguer émotion, besoin, attente non dite et demande explicite. Nous cachons souvent nos sentiments derrière des jugements. Je parle ici du jugement moral qui enferme une personne, qui la met en position d’objet. Ces jugements que nous portons sont bien souvent des projections — simplificatrices — de ce que nous percevons, et ces accusations destinées à d’autres parlent en fait beaucoup de nous, ce sont souvent des tentatives de rationalisation de nos propres sentiments. Au lieu de parler de ces dangereux énergumènes sont des terroristes ! », il serait dans un premier temps plus réaliste de s’autoriser à ressentir » et d’assumer de dire Je n’aime pas bien les gens qui… », je tremble quand je le vois s’approcher… » Ce que nous n’aimons pas parle de nos peurs, et parfois réveille des peurs archaïques. Quand derrière ces peurs nous décryptons nos besoins, nous pouvons sortir de la position de victime qui nous freine, évaluer les dangers réels, et choisir soit de nous enfuir, soit de résister, ou, si les conditions le permettent, de tenter d’entrer en négociation avec les autres et leurs besoins à eux. Cela permet d’avancer dans la résolution du problème. À partir d’exemples concrets, on peut s’entraîner à dire, à écrire, ou à répéter tout haut Ce qui m’agace, c’est… ; j’ai peur de… ; j’ai besoin de… ; je vous demande de… ; j’accepte de recevoir… ; je refuse… ; je vous propose… » Voici un exemple de lettre rédigée à un supérieur, lors d’un exercice de communication à propos d’une histoire racontée par un stagiaire qui avait subi de la part de son supérieur un reproche public et très bruyant Quand vous criez ainsi, cela réveille mes peurs, mais ne me convainc pas. J’ai besoin d’explications et de calme pour réfléchir. Je comprends votre déception et j’accepte de recevoir vos critiques professionnelles, mais je refuse vos allusions à ma vie privée. Je vous demande aussi de me vouvoyer comme vous le faisiez auparavant. Je vous propose de reparler de ce problème avec notre collègue également concerné. Je vous invite à me fixer un nouveau rendez-vous. Nous pourrions explorer ensemble les marges de manœuvre et les différents progrès possibles à faire dans les différents domaines de notre collaboration. Je suis prêt à participer à une formation complémentaire si besoin. » Des réponses adaptées Il est important de trier nos peurs et d’identifier nos besoins qui ne sont pas tous identiques, pour trouver des réponses adaptées Avons-nous besoin de reconnaissance au point d’avoir peur d’une critique ? Nous pouvons affirmer notre compétence, nous remémorer ce qui fonctionne bien… Est-ce mon interlocuteur qui manque de reconnaissance ? Je le complimente sur ce qu’il a réussi et fais appel à sa capacité d’analyse pour constater ensemble ce qui ne va pas. Je ne me sens pas en sécurité ? Je peux affirmer mon droit à ne pas être agressé, me réserver un territoire à moi, exprimer mon besoin de sécurité financière. Ai-je peur d’être blessé physiquement, de souffrir ? Je peux demander du renfort, une protection. Est-ce mon interlocuteur qui est insécurisé ? J’éviterai tout ton menaçant, lui proposerai de l’aide, et rappellerai clairement le cadre et ses droits. S’il semble plutôt craindre d’être abandonné, je ferai preuve de plus d’attentions chaleureuses. J’ai horreur d’être surveillé, peur d’être contrôlé, envahi… Ai-je besoin de plus d’autonomie, ou de plus d’intimité ? Selon le diagnostic, je demanderai des délégations de responsabilités, j’explorerai mes marges de manœuvre, ou bien je demanderai à travailler dans un bureau fermé… Est-ce mon interlocuteur qui a besoin de plus de liberté ? Je lui confierai une mission en autonomie, quitte à ce qu’il rende des comptes après coup… Nous pourrions aussi fixer les objectifs ensemble et je lui laisserai l’initiative du choix des moyens. J’ai peur d’être perdu, de ne pas comprendre. J’ai besoin de savoir où l’on va. Je vais dire ce qui est important pour moi, questionner la finalité de tel ou tel projet, baliser les étapes, demander une carte pour vérifier le trajet. Une personne qui a besoin de repères va apprécier certaines critiques, même négatives, et préfère qu’on les lui dise en face. Mais pour avouer ses propres peurs et reconnaître ses besoins, il est nécessaire d’avoir déjà assez de confiance en soi pour oser l’authenticité. Cette confiance en soi se construit ou se restaure progressivement, en se donnant de petits défis faisables, vérifiables, évaluables, pour nous inscrire dans une dynamique de progrès. De nombreuses personnes se sont construites paradoxalement à partir de leur propre vulnérabilité… en donnant à leur entourage ce qui leur a manqué. Au lieu de s’installer dans une position de victime impuissante, et sans doute grâce à une certaine vitalité personnelle, à l’aide de tuteurs et en prenant appui sur le récit de leur souffrance, elles sont devenues fortes de leur point faible[5]. J’ai eu très peur, je voudrais un câlin Quand on propose à des enfants ou des adultes d’enrichir leur vocabulaire des émotions et des besoins, on leur permet de mieux comprendre ce qui se passe en eux, de choisir une réaction plutôt que de subir une impulsion ; il vaut sans doute mieux essayer de dire même en pleurant ce qui nous a fait peur, que de se taire et de se terrer dans son coin. On peut aussi augmenter son registre d’expressions non-verbales Je pense à cet exercice dont l’objectif est de comprendre et d’exercer le langage non verbal, à partir de commentaires d’images faits par quelques participants. Les autres, en position d’observateurs, sont répartis entre ceux qui — dos tourné — s’intéresseront au contenu des mots, aux idées évoquées, ceux qui écouteront le ton, le rythme de la voix et de la respiration…, et enfin ceux qui derrière une vitre ou avec des isolants phoniques aux oreilles s’attacheront aux mouvements du corps, aux gestes des mains, de la tête, aux expressions du visage, aux changements de couleur de la peau, aux couleur de la peau… Le sculpteur d’émotions[6] est aussi un bel exercice où l’émotion est de la matière à disposition, matériau auquel on choisit de donner une forme physique en fonction du contexte, de nos préférences, de l’interlocuteur mimiques, regard, posture, gestes, etc. Théâtralisation Bien entendu, le théâtre-forum adapté aux situations de formation[7] et autres outils de visualisation ou techniques de clown sont des moyens performants pour travailler sur ses appréhensions, prendre conscience du besoin d’avoir un espace à soi, constater que si l’on se sent envahi », la tension intérieure monte très vite. Chez certains la peur est paralysante et le corps se recroqueville, pour d’autres elle se mue en colère avec risque de violence. Ces exercices aident chacun à repérer son non-négociable et ce qu’il est prêt à lâcher sans se perdre, à défendre son territoire, à ne pas se laisser marcher sur les pieds », à affirmer son autorité, peser son poids, à résister à une demande abusive ou à une intrusion. Ces entraînements servent aussi aux militants engagés dans des actions de résistance non-violente, par exemple face à des forces de police, ou pour contenir des débordements. Dérôlage et cercle de parole Ces exercices sont toujours suivis d’un dérôlage », pour bien distinguer la personne en formation du personnage qu’elle a accepté de jouer on laisse le costume au vestiaire, on se salue, on se rassure. Puis on fait cercle, et chacun peut alors exprimer ce qu’il a ressenti, observé, compris pour la gestion de ses propres histoires ce qui le met en fragilité, à quoi il résiste facilement, les éléments de sécurité dont il aurait besoin pour pouvoir dire telle chose à son collègue, sa supérieure, son secrétaire, les appuis à chercher, les points encore à travailler. Fonctionnements collectifs et capacités personnelles sont deux aspects indissociables Lors des formations que je propose, j’évoque aussi les espaces de régulation institués qui sembleraient nécessaires, les règles de fonctionnement à proposer, des actions collectives possibles à entreprendre. En effet, la régulation des peurs ne se réduit pas à un entraînement personnel ou à une question de communication. Trop souvent, notre système social et l’organisation de notre vie quotidienne précarité pour tant de gens, dysfonctionnements dans nos entreprises, écoles ou associations, violence des médias ne favorisent pas la satisfaction simple de nos besoins réels, et risquent de les transformer en désirs inassouvissables ou en peurs insurmontables. Ne pas laisser la peur nous démolir, ne pas laisser la colère détruire des vies, cela suppose aussi d’agir sur le cadre même de nos relations, pour que ce cadre de vie permette à chacun assez de sécurité pour oser s’affirmer. L’inquiétude liée à la crise devrait nous inciter à explorer ce qui doit changer. Ce changement dépend aussi de nous, en tant que citoyens, syndiqués, associés, professionnels engagés dans la transformation sociale de façon éthique et responsable… Et là aussi nous avons besoin de réfléchir, d’apprendre et de nous exercer ! [1] Goleman, Rosenberg, Filliozat, Rojzman, Erik Berne, etc. [2] Antonio Damasio, neurologue américain a complètement changé la perspective des recherches sur les émotions. Dans son best-seller, L’erreur de Descartes, il explique pourquoi il faut cesser de voir le corps comme un instrument du cerveau. Le corps et le cerveau sont partenaires. Nos émotions et notre capacité de raisonner nous aident ensemble à prendre des décisions. [3] Colette Portelance, dans Amour de soi et relation d’aide ». [4] Je rends hommage à mes collègues formateurs des Ifman, avec qui nous avons mis au point de nombreux exercices. [5] C’est la résilience dont parle Boris Cyrulnic dans nombre de ses livres. [6] Exercice que nous devons à Olivier Maheu. [7] Lire Le théâtre-forum apprendre à réguler les conflits, de Guillaume Tixier, paru aux Éd. Chronique sociale.

Effectivementavant même de savoir parler lorsqu’on est enfant on apprend à développer sa capacité d’écoute. Grâce à cet apprentissage nous développons nos relations interpersonnelles et notre habileté sociale. Cela veut dire qu’avant même d’être une qualité pour les autres (une capacité altruiste), cela nous sert à nous même. Ecouter c’est aussi important pour les 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID qXae4hH7_qGDvsvTRCMFbHDqpbcMMSkXDv5O-xZ3BO8WiDWNABhmNA==
Tourà tour ou simultanément, on a considéré l'interdiscipli- narité c o m m e une idée porteuse d'avenir, c o m m e le refuge de chercheurs superficiels ou c o m m e une option pouvant mener à la disparition pure et simple des disciplines, portant ainsi un coup dur aux enseignants du secondaire et du supérieur. Trois facteurs ont contribué cependant à ouvrir les portes de l'en
Le SILENCE , Et si on parlait ? Ce grand oublié peut devenir un allié précieux pour nous aider à rentrer en nous – même, , mais aussi pour grandir dans l’écoute intérieure et l’attention aux autres. Un Sésame pour trouver la paix du coeur. Le silence est pratiquement éliminé de notre environnement, il en est même pourchassé…. Le vrai silence n’est pas mutisme mais ouverture. Il est vrai qu’il y a des silences nocifs qui sont à éviter, car il nous coupent de notre entourage en montant des murs de béton autour de nous. Le Mutisme est rempli d’amertume, de rancœur, de paroles intérieures agressives qui font beaucoup de bruit au -dedans. Ce silence là est destructeur et à éviter à tout prix si nous voulons pas démolir nos proches, mais également nous détruire nous – dedans ! » Je me suis souvent repenti d’avoir parlé, jamais de m’être tu ! » Le Silence permet de mieux écouter, c’est logique ! Or, l’écoute est toute cette partie de l’échange qu’il soit avec Dieu, ou avec les autres , à se centrer, sortir de soi pour se centrer sur l’autre et le laisser exister….Accepter de laisser parler l’autre et donc se taire soi – même, renoncer à envahir l’espace, à se justifier, à expliquer, à convaincre ou à répondre. C’est difficile a réaliser ; mais c’est un moyen radical pour grandir en disponibilité, en ouverture, en tolérance et développer un sage jugement personnel. Le silence est le milieu naturel où la vie de l’esprit peut s’épanouir. Sans un espace de silence intérieur, il n’y a pas de pensées possible. Ce n’est pas pour rien si le silence joue un rôle important dans diverses formes de prières. On pense ne pas savoir prier, c’est dans le fond sans importance, car Dieu entend nos soupirs, connait nos silences Le silence est le tout de la prière et Dieu nous parle dans un souffle de silence, il nous atteint dans cette part de solitude intérieure qu’aucun être humain ne peut combler. Enfin nous avons également besoin de silence pour admirer, contempler, et laisser entrer en nous, la beauté devant laquelle nous nous trouvons. Le silence nous donne la chance immense d’être en » communion Personnellement j’ai appris A garder le silence sur certaines choses qui n’est pas bon de jeter en pâture A garder le silence sur certains éléments pour les divulguer à un moment opportun et conserver la paix et de bonnes relations avec tous. A garder le silence face à certaines sollicitations qui ouvriraient sur des discussions houleuses. A garder le silence en face de celui qui s’exprime, le respecter et respecter les silences qui s’instaurent pour favoriser l’écoute et la En conclusion, ne rien dire est paradoxalement une forme de communication, peut-être la plus évoluée avec soi – même, avec l’autre…. Les anciens disaient » Une eau boueuse ne peut pas être clarifiée si elle ne cesse d’être agitée Maisaussi inviter des vrais amis, prier ensemble Pour un couple, apprendre à communiquer est un départ. Qu’il pense aussi à échanger sur sa propre communication :
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hTlnk. 357 119 195 258 35 301 233 70 113

apprend a ecrire ou apprend a te taire